• L'INFINI : dernière mise à jour. [Partie III ]


    La nuit a dévoré l'enclave, tandis que nous tirions à tour de rôle, de grandes goulées, de grasse fumée.

    Ensuite, quand je croyais fermer mes yeux, ils s'ouvraient sur des visages âgés, penchés sur moi.
    C'est étrange, tous ces vieillards, on aurait dit la même personne.

    Chœur de vieillards : Si tu oublies cette phrase, quand tu viendras ici, je ne serai plus là.

    Je t'envoie dans ce monde pour le féconder, ce ne sont pas des mots, ni des données conventionnelles,
    c'est plus que de la magie, tu portes un chemin inédit.

    Tu vois ce peu d'encre dans ta main, ce sang séché, c'est celui qui mène au champ des possibles,
    c'est la source de la vie.

    Ed : Se mettre à mort pour donner naissance à la vie ?

    Chœur de vieillards : Il faut traverser les limbes, ne pas se retourner.
    La terreur est un gardien qui ne laissera passer que l'innocence. Tu connais le chemin. Prends en bien soin.

    Ed : Que vont-ils faire de ce don ?

    Chœur de vieillards : Ils vont connaître l'amour et avoir envie de s'en nourrir de nouveau.

    Je connaissais un enfant qui ne pouvait mémoriser les choses trop bonnes,
    alors chaque jour, il naissait de nouveau. Il s'appelait soleil.

    Ed : Vous voulez que je leur donne envie de vivre, vous voulez que je les rendent dépendants.
    Pourquoi ?
    Que sont-ils pour vous ?

    Chœur de vieillards : Tu connais la réponse. Ils sont mon espoir et je ne veux pas le perdre.

    Cela
    peut être ce que l'on veut que ça soit, tourment infernal ou clef du
    paradis, ce n'est qu'un outil tout dépend de l'usage que l'on en fait.
    Tu te doutes bien que je ne vais pas leur donner l'illusion hypocrite
    du choix, cela ne serait que leur en faire porter la responsabilité, le
    présent n'est qu'un instant au regard du temps, ce qu'ils appellent le
    choix ne peut être autre chose que la résultante de tous temps, hors du
    concept de réalité. Sans réalité ce ne sont plus des hommes.

    Ed
    : Je sais ce que tu veux. Tu veux réveiller les anciens dieux. Ceux qui
    vivent en chaque homme, c'est cela le secret de ton illusion. Plus
    exactement, tu es l'un des anciens dieux qui veulent reprendre
    possession de ce monde.

    Chœur de vieillards : Es-ce que tu le feras ?

    Tous, comme des reflets, on est parti d'un rire un peu fou.

    Difficile de se trahir à moins d'oublier...

    Le champ interromps sa matéria pour me livrer un message.
    Il a établi la synthèse des éléments collectés. Il peut ouvrir une faille.
    Il génère alors un flux de contrainte nourri du néant. Il prend la forme d'un univers. Autour de nous.
    Nous nous levons. Et on commence à traverser. son univers.

    Ed : Tu te rappelles où c'est qu'on va ?

    Salvia : T'inquiète, j'incarne l'orientation. l'orientation. Existe, toi aussi ! libère toi du récit !
    Tu
    n'es pas astreints à suivre son cours sinueux. La cérémonie n'a pas eu
    d'autre but que de nous détacher de la vie. Laisse mon âme te guider.
    Quand deux envies se rencontrent.
    La réunion féconde libère un univers.
    Les dogmes sont désintégrés.
    La vie est possible.

    Un jour, un enfant qui assistait à la naissance d'une planète a célébré la vie.
    La vie est une porte sur d'autres univers. Il suffit de s'éloigner du courant pour être dans l'océan.

    Alors le temps n'existe plus. On joue des trompettes au premier jour du printemps.
    Là, s'élance la symphonie infini. D'aucun dise que ce sont le chant des âmes en souffrance.

    Ed : Moi, j'entends la source.
    L'éternel,
    oubli.

    Dans le sens inverse le temps n'existe pas. Il suffit de générer sa réalité à rebrousse temps pour l'autonomiser.

    Salvia : Laisse moi rire, ton dialogue, il est extrait d'un porno ?
    Sa live tous azimut.
    Que se passe t il ? Tu es absorbé par un gouffre d'ennui.
    Mon chéri détend toi on est presque arrivés.

    Ed : Salvia ? Tu m'as appelé mon chéri il y a quelques instants !

    Salvia : Ah Oui ? je n'ai pas remarqué. Tu as vu ? les ombres se fanent. Leur souvenir, boréal.

    Je t'assure si tu fais liver tes personnages, personne ne les croira.
    Leurs paroles ne sont pas destinées à cet univers. Elles le désintégreraient.

    Ed : Mais ils ne sont pas conscient. Que leur reste t'il du chemin perdu ?
    Au loin de notre univers, ce ne sont que des échos désincarnés, des cavales, des incréés.
    Ils ont quitté l'être.
    Les cavales continuent éternellement de combiner les données, elles attendent de leur trouver un sens.
    Elles se nourrissent de l'écho jusqu'à ce qu'il soit si pur qu'il les réintègre aisément.

    Je me suis étendu. Les lunes strient le ciel comme de l'argent irisé à la surface de l'eau.
    Les pensées d'ailleurs nourrissent mon présent et cet ailleurs est l'Ed end.
    Je
    suis resté au pays, mais y suis désincarné. Le chemin lien n'est
    qu'occulté. Je regardais des marionnettes aux mouvements si rapide
    qu'elles faisaient disparaître leurs liens. Ils finissaient par n'être
    plus visible dans cet univers.
    J'observais les pantins animés s'exercer à leur rôle.

    Je tiens le volant et je tire dessus.

    Salvia: mais non, t'es fatal. Il ne faut pas nous planter. Si nous sommes encore là au moment de l'explosion,
    elle
    nous décodera. Et nous la traverserons. La façonnant à loisir. A notre
    convenance. (C'est ce chemin temps que nous utilisons pour parasiter
    votre univers.)
    Nous sommes des sondes. Le Kraken vous observe.
    N'ayez
    crainte. Il possède ce qu'il voit. C'est une créature mythologique qui
    s'encode dans la réalité. Affranchie des constantes de notre univers.
    Elle semble utiliser notre univers pour se perpétuer. C'est la surface
    de contact des dimensions. C'est le Kraken. Les éruptions d'énergie
    dans le courant prennent la forme de tentacules.
    Elles ont à leur extrémité des combinaisons de donnée en forme de gant. (Contact.)
    Si
    un humain décèle sa présence. Il retire ses tentacules. Et la zone de
    contact de l'univers cesse d'affecté. Les êtres qui y évoluent
    reprennent leur routine. Les humains dépossédés oublis le temps
    maudits. L'oubli se déverse par vague.
    Au pays d'autrefois ils n'est qu'une âme désincarné. une cavale perdu. qui rêve dans les vestiges de sa présence.
    Quand ses yeux ont brûlé.
    Il a oublié. Ce qu'il avait vu.
    Le pilote ne s'est pas rendu compte qu'il avait quitté la vie. Le pays d'autrefois.
    Loin du steamaddict. Il n'est qu'une cavale perdue
    Loin de l'aire de jeu.
    Où rêve les consciences.
    Quand l'écho devient trop fort on entend un larsen. Les solutions les plus simples, sont essentiels.
    Le reste n'est que le jeu de l'écho. (dans l'aire de jeu où rêvent les consciences)

    Rejoigner notre monde.
    Avouez,
    ce que cri votre esprit, cette enveloppe est fictive, elle n'est qu'une
    croyance. Une délimitation virtuel que vous appelez champ de
    perception. Vous végétez dans un fantasme.
    Il faudrait penser a regarder ailleurs, non ?
    Tu as bien raison, c'est insensé de resté prostré contre un mur, fusse t il celui du plus spiralant des miroir. EvorteX.
    La fascination. Née de tous cotés. Les racines vrillent à l'infini.
    Pourtant il y a une constante un axe.
    La
    première fois que je l'ai vu, j'ai d'abord cru que c'était une ombre
    qui s'étendait. J'ai rêver qu'elle soit liquide. Sa surface comme un
    miroir.
    Cet univers est le fruit de nos pensées. J'en suis persuadé.
    Quand le miroir se brisera nous changerons de forme, nous scintillerons comme de la poudre magique.
    Notre univers changera. et les paroi s'affaisserons.

    XXII. Le pays d'autrefois.

    Un
    lieu mouvant, comme des impressions rétiniennes. Rien n'est réellement
    stable, constant, longtemps, le voyage immobile, défile autour de moi.
    Sans jamais sembler s'arrêter, vertige. C'est peut être un état
    permanent. Je m'approche d'un vieil homme qui revient un peu plus
    souvent, il a mon regard et ses mots sur ses lèvres se forment sans
    jamais éclore. C'est comme un très vieil ami, je voudrais me souvenir.
    A peine plus loin, il y a le feu. Un dragon qui vient de sa longue
    langue lécher les vestiges colorés, les rémanences de la vie.
    Il glisse sur ma peau, je sens la caresse de sa chaleur.
    Il est surpris de trouver un enfant ici.
    Le voyage s'interromps.
    Ici, tout s'évanoui.
    Je reviens au pays.
    Au lieu d'avant la vie, où sur sa balançoire, la douce lumière de l'aurore, m'attend à jamais.
    Je suis en train de marcher, clopin-clopant, me revoilà enfant.
    Le dragon blanc vole à mes cotés.
    Je
    traverse la prairie ondulante. Par moment, les vagues végétales montent
    jusqu'à ma poitrine. Puis, la pente du terrain devient plus forte, on
    arrive près d'une colline. Là, se dressent quelques arbres dont
    l'écorce est noire et qui portent les feuilles d'or du printemps
    éternel.
    J'aperçois son visage changer.
    Au fur et à mesure que je m'approche, un sourire l'envahie, comme au ralenti, elle me reconnaît et resplendit.
    Elle descend de la balançoire, des larmes au bord des yeux,
    On se serre très fort, on danse, le monde est un tourbillon.

    Quand nous avons consumé la joie de nos retrouvailles.
    On va s'asseoir près de la source.
    Le dragon blanc nous laisse pour aller nager.

    Elle : Où étais tu partie ?

    Ed : J'avais oublié.
    Je ne savais plus.

    Elle : Tu ne m'entendais pas pleurer ?

    Ed :Là où j'étais, on ne sait, ni entendre, ni voir.
    Je n'avais gardé que le souvenir de ton absence.
    C'est un peu par hasard que je me suis perdu, parce que le dragon blanc de lumière a bien voulu me guider,
    Sinon, je ne t'aurais jamais retrouvée.
    Les
    lieux avaient changé, le monde était malade, les êtres qui l'avaient
    envahi avaient imaginé tout un fatras d'idées aberrantes, plus
    abracadabrantes les unes que les autres et y croyaient dur comme fer.
    C'était comme des chaînes qui le traversaient et qui l'étouffaient. On
    ne pouvait plus rêver. Le jeu de l'équilibre était cassé.
    Le voile de l'apparence était devenu une croûte qui nous séparait de toute essence.
    Tout était devenu rigide, la vie était disparue, le silence avait pris possession de ce monde.
    J'errais seul sur la terre désolée.

    XXIII. L'Abîme.

    J'ai remonté le court du temps.
    Comme le ressort d'un réveil.

    XXIV. Au delà de la forme, quand des voix confuses refusent de se taire.

    Dans mon esprit le vide se répète en vain sans pouvoir se souvenir.

    De l'ombre est souvenir glissant en dedans et gémit.
    Nous sommes enfant de la vie.
    Vous êtes à l'agonie.

    Dans vos crânes des voix qui n'ont plus rien à dire refusent de se taire.

    Nombre s'étendent vaincus d'avance,
    par l'assaut de leurs souvenirs.
    Vague constante d'éveil de la souffrance qui nourrit l'âme.

    J'ai
    vu tomber des armées cernées, la foudre vengeresse, l'avance inexorable
    du sentiment de l'oubli de l'histoire. Nous sommes condamnés à errer.
    Maudits jusqu'au dernier, par quelque ombre malveillante.
    Dépossédées
    de l'expérience des sensations. Nous agissons au grand jour éternel de
    la résistance à l'oubli. Nous sommes les esclaves du flux des données.
    Styx. L'ennui s'évade avec nous. Mélopée détraquées de phrases creuses.
    Un rideau de sang s'abat sur le décor humain.

    Qui donc vous nourri ?

    Votre brame est celui des âmes perdus qui se sont effondrées dans l'abîme infini.

    Seul
    les larmes sanglantes de compassion de ceux qui suivent votre
    trajectoire, quand elles vous atteignent parviennent à combler votre
    faim.

    Dehors il pleut en cataracte.

    Et l'infini réplique se disloque.
    On appelle lumière cet état permanent des faisceaux divergents.
    Des larmes ont jailli hors ma vie.
    J'écris l'échappatoire. Il faut donc suivre le chemin transversal, celui qui va à tord et à travers des univers.
    Il faut se disloquer comme la lumière en faisceaux divergents.
    L'éveil rayonne de la conscience du chemin transversal. La trajectoire clairvoyante qui nous affranchi de la réalité.
    On se déplace de l'autre coté de la surface.
    Le chœur atomique éclate éternellement.
    Nous sommes nés au centre de ce que nous appelons l'axe du temps.
    L'abîme infini s'achève sur le néant, mais en son cœur réside la solution.
    Il suffit de l'animer en détournent des faisceaux d'énergie.
    Il s'agit d'animer le moteur du projecteur pour qu'il ronronne.
    On contrôle l'essence des actes pour conduire vos esprits.
    Il est possible d'encoder le cerveau humain.
    Ce que nous appelons réalité est donc une projection virtuelle.
    Une simple image virtuelle, que l'on croit mettre en mouvement, alors qu'on la parcoure juste du regard.
    Autrement dit,
    s'illusionnant dans le phantasme, alors qu'il croit la contrôler, l'homme n'est un organisme qui lit l'interface.
    Il choisit sa vie, en suivant une lecture qui a un sens particulier.

    Quand l'on quitte le flux de l'énergie, le courant normatif, le cadre d'existence de l'humanité.
    Quand on quitte la salle obscure. Comme une larme sur l'arbre de vie.
    On découvre tout un univers.
    Alors
    on s'amenuise, on ne garde que l'essentiel et l'on gagne en vélocité.
    Jusqu'à ce que la divergence des faisceaux produise immanquablement
    l'explosion.
    Ce qu'on appelle : « la vie ».

    Quand on quitte la salle obscure. Comme une larme sur l'arbre de vie.
    On découvre tout un univers.
    XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXL'arbre du réel.XXXXXXXXXXX
    Et l'on parcoure de chaque coté le chemin qui mène aux extrémités de l'axe du temps.
    Ici ce qui prend l'apparence d'un nœud est en réalité une issue.
    Une concentration d'énergie qui évolue n'est autre qu'une faille qui parcoure la surface.
    Une focalisation de la conscience.
    +Le faisceau du regard qui le parcoure devient peu à peu un faisceau d'énergie.
    +Il est l'extrémité du faisceau de lumière. Le champ de la vision. Le champ des possibles.
    +Le chemin certain vers l'infini des possibles.
    +Le grand être.
    +Au
    cœur de l'énergie, là où les faisceaux fragmentés se heurtent en
    permanence, ils fusent dans de possibles +existences et l'on peut
    facilement influencer leur orientation ou lier des séquences composites
    synthétique selon +comme on l'exprime. On est alors a l'autre extrémité
    de la vision sur l'objet réel. On le façonne, car nous le sommes. La
    seule façon de vivre est d'altérer notre géniteur.
    Il s'agit de se façonner. (on est la source du courant on l'oriente en fluctuant.) On sécrète sa propre vie.
    On
    se crée, on est la source de l'énergie et à sa surface on peut influer
    le réel. Car il est d'energie fluctuant au gré des particules nos actes
    et donc à l'autre extrémité il réplique à l'infini notre modèle jusqu'a
    revenir par la lumiere sencoder en nous.

    La déformation constante est ce que nous appelons temps, s'est l'éloignement de la source d'énergie jusqu'au néant.

    . quand on s'éloigne On s'éteind dans le néant.
    XXXXXXXX
    On peut aller directement au point de transition, entre chaque phrase, c'est là qu'il y a la vie.

    Dans ces lignes ce cache des mantras.

    Je crois que l'on pourrait effacer tout se brouhaha.
    Je crois que celui qui écoute au delà du bruit des vagues entendra la voix d'un enfant de 7 ans qui dit :
    Il y a la mort subie et la mort choisie.
    La mort subie, c'est comme si l'on tombe par inadvertance d'une falaise.
    La mort choisie c'est quand on prépare son départ, on se laisse pousser des ailes jusqu'au jour de l'envol.

    Il tient dans sa main le fruit du cerisier japonais et répète comme un disque rayé : « Liber Arbitum »

    Au cœur de l'abîme existe l'infini du possible.
    A l'instant où le temps s'arrête.
    C'est l'essence de la vie, figé à son extrémité elle observe le temps.

    C'est le présent éternel, la possibilité de papillonner jusqu'à ce que toute notre poudre soit partie.

    Alors il boit cet énergie. c'est ce que nous appelons épiphanie. Nous entrons en interaction avec lui est nous sommes facinner.
    Les
    stades contemplatifs evolue sur le temps selon une autre logique. Il ne
    lise pas le temps. Ils sont comme des miroirs à la surface de
    l'energie. Et leur surf inscrit une séquence qui conditionne
    l'ouverture d'une faille à savoir prendre le controle de la generation
    de la realité pour la faconner à notre rêve.

    Dans la plus pure folie.
    Les réalités éclatent, elles se fractionnent, elles se combinent et leurs crêtes d'énergie sont les constantes du réel.

    Les rêves se combinent avec une telle logique que notre lecture en masque la structure.

    Si l'on est conscient des extrémités on peut aisément situer le centre.

    Je
    me suis penché. Sur le sol, vu de très près la craquelure perd son
    uniformité . Elle est composée d'un amalgame de phrases dont la lecture
    me laisse interdit. Plus j'essaie de voir où cela me mène plus je me
    rapproche du centre.

    Finalement, nous ne sommes qu'une voiture
    folle dans une bouche de métro sous le regards de nos reflets dans une
    vitre du métro. (Nous ne pouvons les voir car eux fusent )(Lui ne nous
    voit pas arrivé peut être qu'un instant il se sentira plus leger. )

    (L'attraction
    de la source de la vie. L'attraction de la surface. Sinon on a pas de
    mal a trouvé l'emplacement ou l'on a le plus de possible.
    Alors
    nous sommes le cœur de l'explosion et l'instant ou elle jailli, le flux
    est animé à l'instant zero du temps il y a la vie.

    La même phrase revient toujours, au même point.

    Et c'est là, à cette source, que mène la rivière, le flux que remontent les dauphins.

    Au delà de la surface, la conjonction synthétique des possibles est l'essence du réel.

    Nous pouvons l'incarner.
    Jouer nos fantasmes dans le théâtre virtuel.

    Et
    ils se jouent de nous. Car la conscience est ailleurs. Mais nous sommes
    ses extrémités dociles. C'est tiges disciplinés. Laborieuses. reliées.
    Le long de la toile. L'encodage d'unsystàme de pensée parasite. Qui
    donne l'illusion à son hote d'être maitre de son destin. Et ce qu'il
    croit être n'est que le code que nous projetons pour l'encoder. Une
    simple cavale. Un support de creation. Ta peau cher personnage.
    Egregore de mon coeur. Captive de ma toile. Je suis ton extrémité. Ton
    lointain amant l'abime. Celui qui donne un sens a ta vie. Ne sois pas
    blessée. Je joue avec tes rêves. Je joue à les exhaussé. Je t'attire la
    ou tu aime etre. Dans ce flux. Mais j'ai peur. Que tu ais vu mon double
    visage. Tu m'appelle ta mort. Et aussi ta vie. Tu n'est que ce que je
    suis. Ma surface de contact. La ou j'oeuvre à affiner le contraste.
    Ces
    dauphins ce ne sont que les échos de la forme de vie originelle qui
    essaie de s'en approcher et si brule les ailes. La surface de contact.
    La ou se pose les actes. Au commencement Il ya une cellule, puis
    l'ophtalmie.

    Tu regarde un Penseur dont L'esprit Jailli Ou le
    flux de la manna atteri. elle enfile son gants. Et l'on voit un visage.
    Bonjour, Tu as conscience d'etre un steam addict. Tu t'est rapproché du
    réel. Bientot tu sras hors du jeu. Si tu décroche. L'univers va vriller
    comme la flamme vacille. Il va s'interrombre sur un instant. Il va
    retrouver sa monotonie. Absolu. L'absence de vie est sinistre. Je
    n'aime pas ëtre un gant vide. Je vais jouer ton personnage. Ta partie
    de steamreality peut reprendre. Salvia me regarde. Mais elle ne me voit
    pas. Elle me parle d'autre chose. Elle s'abime elle aussi dans la danse
    cosmique mais son ame et si tenue qu'on dirait un fantome un echo
    abandonné. Un souvenir qui facille. Elle n'est pas permanente. Je suis
    collé contre la portière. Recroquevillé comme cherchant un peu
    d'énergie pour subsister. MAis je ne tremble pas Elle est comme dans un
    courant la fuite dramatique course folle vers le néant des arpenteurs
    aveuglés le troupeaux qui suit ces nervures tout le temps ses propres
    taces. (Ce qu'appelaerais jouanne des macrolites) LA façon tres simples
    de s'affranchir de la réalité, devenir fou à lier. Et de prendre
    conscience et d'apprendre à se mouvoir dans l'espace soit rêver. Etre
    vivant. Ce que l'on appelle le chemin de l'être s'est se désintegrer.
    S'est se libérer du flux constnat de l'instant rigide ou son
    concretiser les actes. se libérer de la surface de contac. Apprendre a
    voler apprendre a rever simplement. comme des ames maudites qui erre
    sur ce monde mort qui regarde les nervures du flix/ Ce programme qu'ils
    contrôle de leur conscience énergique/ Stimmadict. Ames perdu. dans les
    limbes. (horizon Crystal végétal) La pensées est une cavle qu'il nous
    faut domestiquer. Disent certains. Nous avons appris à l'écouter. elle
    est notre guide. Notre lumière/ La création. Notre conscience de
    l'être. Nous sommes un infini de réplique à des instants différents de
    leur évolutions. Nous sommes la création. L'acte ultime de la vie. La
    conscience du réel. LEs pilotes son t ous aveugle né. Moort né. Il ne
    connaissent pas la lumière. et en rêve. Se monde est un exode massif.
    nomades. Migrations. des rationnels qui ont perdu la tete et
    s'interdisent les possibles. A force d'tere enfermé dans leur cellule.
    Ils on fini par ce résoudre à n'etre que cette cellule. A ce vider de
    leur sens. Ce sont ces traces les nervures ces amas de possibles abimés
    stratifiés. C'est la croute de l'interface. La surface du sel. La ou
    l'on ressent. La spirale sous jacente. L'interface Disque lunaire zone
    de contact. C'est la la faille par ou l'on s'évade laissant soit m^me
    une trace qui facinne les ames perdu. Une vrille exponienttielle. Quand
    je l'ai rencontrée j'ai choisi de resté avec elle. Je ne resterai être
    qu'avec salvia. jusqu'a ce qu'elle atteigne la lumière. Qu'elle s'anime
    dans la danse de la vie. Vrille irradié, s'animant Dans la chaleur de
    l'être. Les extrémités ne sont que des extrémités. Se ne sont pas des
    combinaisons mobile c'est la rigidité de l'etre incarné. Nous sommes
    ses actes. . . . cavale.:! Nous pouvons exister si nooous avons
    conscience d'être libre de rever. Si nous ne suivons pas ses actes nous
    le depossedons il cesse d'etre nous nous annihilons et pouvons
    reprendre possesion de notre esprit. Contrairement a ce qu'on pourrais
    croire nous ne decrochons pas au contraire nous nous acrochons notre
    trace est notre chemin. Mais si nous regardons dans d'autres sens on
    découvre l'infini des possibles quand les faisseaux diverge la
    concienece ce produit les faisceau entre en corrélation le programme
    vie se coordonne. Il se controle afin despousser la forme du programme.
    Quand on décroche un steamaddict d'une cavale on a vraiment
    l'impression n'on pas de le dépossédé mais de lui donner vie, je me vie
    sur l'infini. LE reve. L'energie qui genere le reve n'est pas la nautre
    nous ne sommes que des échos qui tremble à la surface de l'océan. Un
    frisson de vie. qui frémi.

    la reverberation des pensées
    queqlues feu follet. qui danse sur la manne. ((fleur viollette qui
    blanchisse avec le temps, là ou elle vivent.).) Qui partent en vrille.
    Un jour ils on commencé à dessiné des chemins de code. Et les lecteurs
    en les parcourant génère une réalité virtuelle nous sommes absolument
    synthetiques.
    Mirroir lunaire. L'oeil de la réalité. La surfaace de
    la matrice onirique. Traversé la réalité s"est frenchir la surface de
    la cellule. C'est rejoindre la manne. éclore dans l'océan. Pousser son
    chemin audela des rêves. Là ou il y a l'edend. Ou les actes prennent.
    Vie la où l'on peut Voir l'univers entier. L'ubicité.(unicité) Je me
    suis penché sur un reflet et je lui versé le flux de mes pensées. Il
    s'est animé et est devenue mon personnage. Ed End. La lumière apparait
    quand la cellule devient transparente. Toute les celules deviennent
    transparentes. C'est l'instant immobile/ Puis elle s'opacifie plus ou
    moins.Jsuqu'a parcourur le champ des possibles. Alors la nuit. Est
    Autours de nous. La Pluie Lessive la surface du part brise des feux
    viennent se perdrent sur elle et l'irise par intsant. Salvia à l'air
    d'être sur de savoir ou on va je suis recroquevillé contre la portière
    de matière synthétique et je la regarde scintillé. On dirait qu'elle ne
    bouge pas. De temps en temps J'imagine des mots sur ses lèvres. Je
    donne l'impression de lui raconter ma nouvelle. Mais je rêve à ses
    cotés. Un incréé s'ebat avec la lumièe cré. ce n'est pas narcisse car
    entre eux il y a l'intersticee l'enfant l'edend . Leur creation. Leur
    reve. Quand il partira il se Ils s'éloignerons. et se desintegrerons.
    Ils cesserons d'être des entités distincte. Le steamaddict plus. PErmet
    de fragmenter. Le joueru. ainsi sa véritable personnalité et dissimulé
    par les combinaisons des possibles. Pourtant si l'on est ce qui est. On
    assimile pourquoi cela. est. C'est Ici que l'on rejoint l'unicité. On
    nepeut plus agir. Voila c'est pour ça qu'il vos mieux ne pas trop aller
    pecher des reves car ont fini par ne pas les ramener. Il m'ets arrivé
    quelque chose. J'ai cru voir une sirne miroité à la surface de l'eau.
    Le dauphin la suis du regards. Jusqu'au jour ou il voit quel n'est
    qu'une enieme variation. Un possible parmi tant d'autre. ou l'autre
    cote ou ils sest arreter. Alors il s'abime dans la contemplation du
    possible : le reel

    Aujourdh'ui je propose de cesser de simuler en tous point le réel.
    Pour éviter qu'aujourd'hui soit un jour éternelle pluot que de briser le cercle et de devenir particule.
    Mais de le reproduire en tous point en soi. Rever. Alors L'echo dans l'abime se refletera. L'infini sera possible. Le champ des possible sera généré. Nous l'habiterons de notre rêve. L'homme est un etre omnipotent qui oublie ce qu'il peut, peu à peu. Et se redécouvre. C'est l'absence qui rencontre la presence Et commence à se poser des questions et découvre qu'il n'y a nul frontière alors elle épouse le reve et le reve devient réalité. Le reve est si simple. D'autre préfère ce poser des questions.? Et perde le sens de la vie. NE pas etre c'est comme ne pas exister c'est pouvoir etre tout etreC'est résoudre le mystère de la vie et s'éblouir dans la contemplation devenir les pilotes. De la réaliyte. Les steam addict. Semble Joeur. Alors qu'ils ont oublié. Ce qui est les dépasse. Ils sont les Dauphins. Les pilote.qui Surf dans le flux des possibles. Les arpenteurs de la rivières du réel. S'emerveille de leur acrobatie. Jusqu'à se réveiller un jour dauphin arpentant la rivière du réel. Sans se souvenir d'avoir été faciné. De s'être enivré de l'infini des possibles qu'il voyait miroité dans leurs acrobatie.
    Un jour Ils se réveille Ils sont les combinaisons fractale de l'écume. Ils ont Imaginé être ses formes qu'ils enfantait. Ils se sont éloigné de la création de uchamp des possibles du flux du réel la synthese absolu de tous ce qui est. Pour devenir des spectres incrées des anges de lumières. Les steamaddict ont découvert l'ivresse des profondeurs ils ont connu le voyage inttérieur. Sur le miroir lunaire. Le doute. Ils ont cherché en vain a distingué. Leur source. Leur origine parmi l'infini des possibles.

    Ainsi ceux qui prendre conscience de l'infini. Ne peuvent que pressentir ce que signifie le message il est volontairement codé et émi a un rythme suffisant pour ne pas atteindre la conscience. Pour ouvrir une faille et laisser un flux de donné jaillir. il suffit simplement de sculpter se flux. lle ressentir des autres temps nous guide. Jusqu'a ce que la synthese absolue soit en qoeuvre. Alors elle se ressous d'elle même.



    XXX. Révélation de la véritable nature des cavales.


    Un jour, une larme de la lune est tombée sur la terre.

    La surface de la clairière est devenue lactée.

    Une cellule lunaire.

    Salvia est assise près du centre et son doigt tourne en cercle.
    Une spirale régulière s'échappe du mouvement.

    Je m'approche et bascule au travers. Irradié de lumière.
    J'émerge de l'autre coté, là où scintillent les mondes.
    Au firmament.
    Il y a un chemin, pandémie, propagation exponentielle...

    Je respire l'air ancien du pays d'autrefois.

    Es ce que le parfum de Salvia m'accompagne ?
    - Non, elle a traversé.
    Elle avance en faisant résonner le diapason qu'elle tient dans sa main.
    Elle parcourt le sillon noir de la spiralétoile jusqu'à moi.
    Alors je ne sais pas pourquoi, elle s'arrête et chantonne : ne t'inquiète pas, je reviendrai avec ton âme.

    Quel est le sens ?

    Le rythme du moteur a perdu sa régularité.

    Depuis combien de temps ?

    J'ai remarqué que l'homme noir apparaît dès que le moteur meurt.

    N'est ce pas la cause et la conséquence ?

    Il nous décrit l'étendu de la catastrophe.

    Elle le regarde et rigole doucement.

    Qui porte le FEU ?

    Je lis mes pensées sur ses lèvres.

    Nous l'avons générée pour nous nourrir de son énergie.

    Emporter cet univers jusqu'au prochain nexus.

    Ce n'est pas l'apocalypse mais la genèse inéluctable.

    Nous sommes le vampires originel.

    Celui qui erre dans les limbes.

    Les dragons légendaires.
    Les porteurs du FEU,
    des univers nomades.

    Propagation, l'itinéraire de réflexion de nos radiations.

    Abattez vos cloisons. Illumination imminente.
    La mutation est merveilleuse.
    Les visages des irradiés doucement rayonnent.

    +Sans les cavales le steam monopoliserai notre energie. Nous ne pourrions jouer dans votre univers.
    +Sans pouvoir cloisonné façonner le steam, il n' y aurait pas de jeu, l'eternité, L'Etre, serait écrasant d'absolu, +jusqu'au plus pur néant la ou se joigne les extrèmes, en définitive nous nous passons le temps pour ne pas mettre un +terme à notre conscience.

    Quand nous sommes passés, votre réalité reprend ses droits.
    Vous avez l'impression d'être traversés alors qu'en réalité vous êtes générés dans notre champ d'énergie.
    Vous êtes nos pensées.

    Pourtant vous n'arrivez pas à voir la logique de l'ensemble.
    Vous croyez que ce n'est pas une forme de vie.
    Vous ne comprenez pas le lien qui nous unis.

    Vous n'êtes qu'une vision intérieure, jusqu'au jour où vous sortez.
    Eclosion, vous quittez votre cocon.

    Au grand jour de l'éveil, la conscience parcoure le lien, de l'ensemble à l'unité, l'axe des dimensions.

    Mais dans l'autre sens, s'est glissée de la lune, une larme.

    A cet instant précis, nous avons vu son vrai visage.
    Elle nous a transportés, au cœur nucléaire.
    Là où se décompose, le souvenir de nos corps.

    Désincarnés, errants avec dans le regard la moirure d'un rêve.


    XXXI

    Ici intervient la bienveillance du jardinier.

    J'ai porté vos corps dans la clairière.
    Quand vous vous éveillerai, vous aurez l'impression d'avoir conduit en voiture. D'avoir rencontré l'homme noir sous marin qui vous aura dressé l'entendu de la catastrophe. Puis d'être arrivés dans cette clairière, d'y avoir pratiquer le rituel de la destruction de la barrière la cloison MarcoMicro en fumant salvia comme on dévore la cloicion de raison pour libérer sa perception. Et d'avoir fini àallongé sous mon regard bienveillant. En réalité les choses se seront déroulés dans le sens inverse en partant de l'instant present ou je suis penché sur vos corps à la frontière de l'eveil. A un détail près pour leurrer la thanakhan Ed end tiendra le role principale de la cérémonie alors que il ne que l'emanation de salvia.Et c'est elle qui menera à bien la ceremonie. Vous aurez des flash de rêve qui sintilleront dans vos esprit. c'e n'est rien que la traversé d'une dimention. C'est par ce chemin que s'évadront vos esprits quand vous aurez traversé la etoilesprirale
    Ils simuleront un crash de réalité pour se propulser hors de cet univers.

    Si tu veux le savoir. ce qu'il se passe vraiment c'est que leur etre se désintégre sur la frontière. Et à la surface jailli une nouvelle replique. Il passe d'une forme à une autre.en se reincarnant.

    Ils s'encodent dans la mémoire humaine pour éxister dans cet univers. On appelerai ca une radiation. mais en réalité la radiation. n'est pas une consequence mais une causes.

    Quel autre nom nous donnons à cet radiation ?
    La lumière je crois.
    La radiation des astres.
    tels que le soleil, et son étraange reflection ce(lui)lle de la lune.
    L'etincelle de vie est l'irradiation des corps célestes.

    L'humanité et cet radiation. Mais sesont eu qui la génre. Mais si Il n'ya a pas plus d'univers physique que ce qu'en témoigne nos sens.

    Nous avons oubliés.
    D'où nous sommes venus.
    Et resterons prostré dans la contemplation de la faille de reflection d'un astre.
    Si nous ne nous décidons pas à aller aux confins de l'astre. pour poursuivre notre trajectoire.
    Mais audela nous nous dissiperons.
    Pas sur, si nous ne rencontrons jamais d'obsctacle, nous serons immortel.
    La belle jambe et comment tu compte ne pas rencontré d'obstacle ?
    qomme je le fais en etant pas incrit dans cette univers. C'est ce qui s'appelle naviquer à la surface de la réalité. On peut facilement utilisé cette radiation pour intensifié son rayonnement en modifiant les orientation sur des angles de rflexions multiple. on peut se nourrir de l'explosion d'energie produite pr chaque surface de contact.
    Au lieu De s'amenuiser en sélionnant de notre origine on s'intensifie et est exponentiel, jusqu'a l'absolu.
    On remonte le chemin
    Nous sommes les enfants de l'eternel printemps.
    Notre courant ne ressemble pas plus à un courant qu'un banc de dauphin.

    Ainsi quand vous vous éveillerai vous croirez avoir vécu ce chemin pour aller a la lcairiere.
    Vous entammerai cette cérémonie comme si elle était la continuation logique de l'encodage precedent.
    Vous percevrez la trame et c'est ainsi que naitra l'impression surrélle que l'etoile spirale vie.
    Ne discuter prler pas du jardinier au veillard.

    Il n'y aurait plus les onze siege des sages. quand vous atteindriez la clairiere.
    Et des mains se metterait a tomber comme une averse sur le larme de sel elle fonderait et la surface laiteuse s'incarnerait en vous.
    Les spectre utilise se chemin pour hanter le monde du reel.
    Quand vous traversé vous ne pouve etre certain de ce que vous laisser drrire vous l'enrgie compensatrice qui trans flu dans votre univers. Peut très bien être le pays d'autrefois. Il se cache à la frontière de la vie.

    Je ne suis pas lejardinier. je ne suis qu'un simple fleuriste. Et je n'ai jamais eu de coffre ouvert dans ma boutique.

    D'ou vient se souvenir. cette rumeur.

    Allez vous en non nous ne vendons pas de Salvia Divinorum dans notre etablissement.
    Essayer plutot le fleuriste.
    Celui qui vends des oeufs.
    C'est une cavale residente.
    il vous indiqueras la marche à suivre.

    Ce qu'il ya de frappant chez les cavales residentes.
    c'est que l'interieur ne respecte jamais les proportions de l'extérieur. ils ont toujours des repliques de leur univers. Plutot que d'entretenir une faille de passage. il dispose de réplique identique et ne convoie que les informations recueilli dans l'abime de la faille.

    Ce afin de depenser moins d'energie.
    Ici le monde à cesser de siposé de ressourc suffisante pour continuer longtemps la modulation du larsen.
    Et nous ne pouvons avoir la certitude de ne pas etre de simple echos L'energie et si faible que nous pourions etre la remanence des joeurs. Simple cavale désincarné. Qui errent en attendant d'être traversé par le flu ideal d etre incarné.

    Mais qui rêve sans fin si m'aginant que d'autres sans souvienne mais tous on oublié l'origine. le passage qui permet. de rejondre la matice. pour la transocder. Pourquoi qu'est ce tu veux faire ? pardi Je conte bien trafiquer le code. de la perception. pour masquer ma présence. on va dire quelque goutte de doute. celle qui sont si chromé. que l'on voit comme le spectre d'une radiation les irriséer.

    Tu crois qu'il ne vonte pas nous encodé ?
    J'ai un detraqueur.
    Il faudrait qu'il le pirate. et c'est un dernière réalité. C'est à dire ?
    Il n'existe pas encore. Alors au moment ou se produit un evenement il est déjà adapté.
    Le court circuit lui fourni la forme a adpté pour être intégré.
    :Pour pouvoir le pirater il faudrait justequ'il atteigne l'instant ou tu l'as déclancher.
    Oui eet il le cherche dans l'infini.

    PAr qu'il ne peuvent calculer sa logique dans leur univers. ils leur manque trop de type de radiation.

    Il est donc necessaire de les illuminés pour se nourri de leur energie sinon ils ne pourront pas ne pas se deteriorer. Ils sont trop faible.

    Ils sont perdu. donnons leur une place dans notre rêve.
    Les vampires quelque part ressemble drolement à des abeille qui butine pour l'aspect vital de la migration des pollen. Autant que le nectar par la façon de transiter par l'univers interieur des colibri.

    A oui les steam addict tu les appelle comme ça. Oui c'est une drole d'organisatin teroriste. Je n'ai jamais observé leurs oeuvres. On dit que ceux qui s'esn nourisent en meurs. C'est ridicule.
    Oui en souriant une pandemie. tous les journaux on a la bouche le mot secte.

    Ce ne sont que des support pour encoder notre réel (rêve) dans votre univers.

    La contamination n'est pas une illusion.

    Les repliques de la divison cellulaire ce perpetue en vous.

    L'oublie n'st que l'absnce de perception (cf le temps n'existe pas)


    Quand il n'est pas controlé pour vous sculter un petit enclos dans votre univers que nous possédons. Nous le fragmentons de sorte à ce qu'il paraisse étendue et nous faisons transiter vos donnée. de sorrrrrte à ce qu'il soit infini Nous adaptons les extrémités pour que cela paraisse continue (à ce qu'il paraisse continue..) votre conscence est notre champ d'action notre zone de contact avec le réel.

    XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

    A moins que ce ne soit que le fruit de mon imagination.


    Dans les compulsions de l'agonie.

    (De l'âme, j'aurai voulu voir comment la fumée s'envole de son âme tortur, celui qui reste en ses lieux fini toujours par s'oublier.
    Qui n'a jamais rêver de se désagréger.
    Des putain d'interface.
    La vie ou son illusion.
    Je regarde encore mais je ne vois plus rien. seule la celluloide fait son cliquetit regulier quand la bobine la force encore sans cesse a revenir au même point.)


    (comment je suis sorti de la boutique et le ciel était craquelé.)
    (Un asile dans la jungle endormi)ou qu'elque chose comme ça... eau cristal sur quartz noir.

    Le héros Thomas COREM
    Ecrivain désabusé, qui décide de partir comme on part en vacances, parce que c'est maintenant où la prochaine fois, alors autant ne pas attendre la prochaine fois. Aussi parce qu'il arrive en fin de loyer. Et il se dit que ça ne peut pas faire de mal à sa nouvelle si il sacrifie un peu de sa vie pour qu'elle soit plus jolie...

    Rapports

    Réel - Fiction
    Clairière Metrocrash
    x
    Depart sarko faschism depart pur fun
    x
    Panag nag
    x
    Recherche lsd salvia amene feuille salvia.

    Enregistrement camescope.

    Ceci c'est ce que dit aide a salvia au moment ou ils sont en train de realiser le rituel de la reunion des differents elements par contre au moment ou ed est dans la voiture il s'endor il s'assoupi plus exactement et il voit cet image de pendu cette sorte de spirale juste avant il voit une sorte d'enclave un disque lunaire fragment de desert circulaire desert au milieu d'une forest prise dans la nuit dans la pluie tout est un peu ethere le ciel donne l'air d'un ocean et rejoins le sol par instant on dirait d'une caramel qui s'étire qui fait des long filaments qui cassent. Aspect très organique et

    Quand je demande a salvia ce quel a vu en plus de l'essence qui miroitait il y avait des flamands roses beaucoup de flamands rose qui etaient la. Rapport nasca peru le sel. Autre detail il y a quelquechose qui coule sur le sol es ce que c'est des larmes du sang quelqeuchose qui vient de très loin c'est quelquechose que ed voit dans toutes les evocations de pendu chaque fois que je vois l'image d'un pendu il ya quelque chose qui coule sur le sole des larmes du sang du sperme de la merde ? meme si normalement un pendu c'est pas censé avoir de sang du sang qui coule donc je sais pas ce que s'est. en tous cas il voit ca ed. Autre chose quand je sors la salvia de la voiture c'est assez etrange soit c'est nous qui rappetissont soi c'est elle qui grandit au fur et a mesure mais elle est entrain de devenir immense quand on la chercher au fleuriste a peu pres 40 cm quandj e la trimballe quand j'arrive près du centres de la spirale elle fait presque deux metre de haut. Elle es devenu Demesuré elle tient plus dans son pot les racines sortes et s'etendent son pot riquiqui je suis obligé de la mettre en terre. Autre phenomene etrange Il y a aussi des traces de mains prises dans le sel. On entends des sortes de bruits sourds, comme moitié un coup tapé moitié quand le tonnere gronde au loin c'est pas tres tres fort quand on regarde dans la direction on trouve des traces de mains sur le sol elles apparaissent en meme temps que les coups sauf que quand on regarde on arrive pas les surprendre. On regarde le sol vierge et juste apres le coup on voit l'empreinte d'une main.
    LA salvia ou on la pose au depart les fauteuils sont disposés en Y et Y envers vertical, pentagramme ordi, un emplacement vide. Des le depart on met la salvia au centre de la spirale on la depouille de ses feuilles ensuite on ramene le bois pour faire le feu sur la salvia. La salvia ne brule pas mais elle est au milieu du feu.



    Segment de juste après voilà les fleurs.

    Here IS Le chemin du GO TrH U

    Let have a tiny stroll Trhu
    Vous pourrez découvrir ce que bon vous semble. Attention ne vous perdez pas.
    Vous pouvez vous perdre pour découvrir se que bon vous semble.
    Tapons nous une minuscule balade a travers.
    Ici le code vert fleuri.
    Il y a pour accompagner votre plongée dans l'abime de délicates fleurs pensées.
    Echo fantome.
    Souvenir de la vie.
    Si vous naviguez à l'époque originelle de ce terminal (20)71
    Alors nous ne devons être qu'une algue informatique dans un bocal de culture,
    Une mémoire que vous gardez active.
    Qui a été si souvent visitez. Que les rêves des steamaddict s'accrochent à elle.
    JE crois bien qu'Ed est chargé de la maintenance.
    Il doit maintenir la mémoire exampte de mutation.
    Pour se il donne l'illsuion d'une mutation quand il la restaure ou plutot la mets à jour.
    Quand il simule le code de création pour orienter le flux vers sa source. Et s'additionner pr la resistance en conducteur qui oreiente le faisceau. Pilote. Celui qui incarne l'être.
    Ainsi (l'axe des)Les variantes appelées temps par les humains de l'ancien temps. S'on annihiler. Elle se résorbe par elles même. Avec juste notre joueur(2071=cavale administrative.) d'intervention. Pour faciliter le processus. Ainsi l'humanité reflête nos pensées ? Ils s'imagine vivre ? Je crois que si mon ombre s'imagine vivre. Je dois la laisser rêver. Elle n'a pas tord. Elle peut m'incarner, car je l'ecoute pour denser. Je suis joueur.
    Ed: Des papillons rouge. Aux ailes de sang. Volètent en scintillant.( A l'heure extrémités. chatois La dimenton de salvia. LE faisceaux des zones d'ombres. )
    Il y a la tête de Nathan qui tremble en les voyant se précipiter vers sa gorge béante. Comme une foule d'illuminer ayant trouver la porte rouge de la sortie. Son visage se contracte quand ils l'envahisse. Il a comme un Hockey. Alors la tête de nathan comme portée par une force invisible qui traverse la pièce pour attérir sur le tronc de son corps Ses bras s'agitent épileptique mécanique, jusqu'a ce qu'ils s'apaise comme à court d'énergie. (le nathan de cette scène était coquelain. Bios est l'assaillat de la suivante.)
    (Bios Scène Du passé.)

    Quand j'ai voulu aborder avec mes uspérieurs Le cas de la division cellulaire autoproclamé huamnité.
    Ils m'ont dit que je devenais hérétique. Mon esprit allait se figer. Et qu'ils allaient être obligé de me restaurer. Cela s'est vraiment passé. Pourtant 0 l'instant ma tête entre les mains. Quand je m'attendais à être annihiler. J'ai découvert une irridescence fabuleuse. JE me suis penché sur sa surface. Et mon visage et venu se coller à elle. Elle s'est dissolue à mon contact et dans les particules qui scintillait comme du sang en apesanteur sous l'éclairage d'un crash brutal.
    Comme si c'est instant était un univers. LA coupure à eu lieu dans mon univers précédent celui ci n'a pas été affecté quand j'en suis ressorti j'étais à l'autre extrémité de la coupure (faille) .
    J'étais devenu Ed End et j'allais remonté le temps jsuqu' a l'instant ou je suis au pays d'autrefois.
    Jallais encooder les données d'un replicat exponentiel..... qui m'a donné le controle de cette dimentioon.
    Ensuie la maintenace m'a fait une proposition pour rejoindre leur rends.
    Naturellement je découvrais un monde de possible. Et eux m'offraient La possibilité d'y Vivre.
    Je suis devenu jouer. (steam addict) pour leur compte.

    Au pays d'autrefois on m'appelle Arkh, je ne sais pas pourquoi je me souviens pas d'avoir utiliser ma forme de kraken dans se continuum.
    Pourtant J'ai découvert que c'était vrai
    J'avais atteint le monde symétrique de la source.
    Ce monde qui dupplique les ... en infini variations exponentiels. Plus clairement. Il absorbe ce qui le traverse de sorte que ce qui la traversé devienne des echo. Il anoment les mondes qui sont en contact avec lui.
    C'est le grand variateur deu cosmos. Leo Log Ram noir.
    Un noyau avec des piques qui ondule ne s'éthérant.
    On l'appel aussi le miroir de la lune.

    Le kraken

    C'est pour ça que je pouvais le contemplé. Je n'étais plus qu'un de mes écho. Un souvenir désincarné. Emporté par la trajectoire spiralé qu'il m'a donné.

    Le rizohme.

    Est une vision interne du kraken.

    C'est son microcosmos.

    Ed end est dans le percosmos (transcosmos)

    Le magma de la manne est le macroscosme.

    Coici globalement l'ordre des dimmmmentions qui régissnt l'edend psychic show.


    J'oubliais on l'appelle aussi aramcheck, c'est l'ordinateur qu'ed transporte sur ses genous dans la voiture de salvia.

    Egalement l'anamorphe (ou salvia ?) est une coupe transversale du Kraken.


    2017 ed end.
    JE me demande si les viel légendes comme quoi si l'on regarde le camouflage on est fasciné.
    sont vrai ? J'ai plutot l'impression que l'on peu diriger directemment Le flux du possible. Le microscosme prend le phénomène pour son milieu de developpement naturel. Ainsi on peut l'extraire du continuum.
    LE stocké dans des cellule rêves. Où la surface de miroir les englobe et les perpétue à l'infini.
    Dès lors on peu jouer presque comme si on était devant un borne d'arcade total.

    LEs bornes d'arcades total.
    Les célèbres (bornes) kraken ? je n'en n'ai pas encore parlé ?
    C'est un grand succès dans les rades de laGon ISle
    C'est des bornes pour stimaddict.
    Il se les encodes.
    Puis ils peuvent jouer au steamgame dans notreunivers sans l'affecté.
    Il sont totalement en harmonis. Alors que dans le game. Les univers où ils évolue sont (aux antipodes) gravement déphasés.

    On les appellent les kraken. Car le rayonnement des (de l'encodage des données de leur noyau) données de leur noyau prend la forme de piques (spiralées) ondulantes. La seule façon de pouvoir décter leur présence est un légère irridescence. qui scintillent à leur surface.


    Ed end aurait pu avoir de sérieux ennuis quand il a relevé la présence d'un détournement de flux continuum. Les piratesociety sont très éfficace quand il sagit. de préserver leurs intérêts. Elles réinjectent continuellement tout leur excedent dans le processus de vie de sorte qu'on à l'impression de
    voir un cérisier japonais qui fleuris ou à l'envers, de voir de multiple tentacule aspirer l'energie des corps environnant.

    des pseudopodes des cavales. Les zones de contact qui lui permettent de naviguer au sein des Cosmos.

    L'Ed End est le rêve symbiotique, c'est l'incarnation réciproque des énergie.
    L'EvEil.
    Le flux d'ExistancE qui jailli/pénètre contrainte = rayonnement. Le sperme mundi.
    Le champ des possibles.

    Quand LA cellule thanakhan evolue dans le cham des possibles. Il ya des fragments de données. qui se détache sans cesse des périphérie de leur zone de contact visuel. Ils ne sont pas parfaitement stabilisés au coeur pour limiter les contraintes de son attraction.

    Soudain nathan sort de la pièce en titubant. Il vient à ma rencontre*. Il essaie de me dire quelquechose des mots qui se forme sur ses lèvres. affolées quand jaillit la lumièe éclatante. L'explosion de sang m'aveugle. (et m'emporte jusqu'à heurter vilement le mur.) Mon auxde stabilisation temporelle se déclenche en aval de l'explosion est inscrit un code de transport pour me réceptionner intact de l'autre coté. Concretement j'ai senti mon corps basculé Il ya eu un scintillement à la surface de mes sens. JE me suis redresser soulever par l'explosion jusqu'à reprendre en douceur ma position originelle.
    ((Le corps du nathan se controsionne de tous ses membreS.)
    Sa tête (dans le creux de ses bras) (posé près du mur) me regarde en souriant et ce met à parler.)
    tandis que sa tête me parlait en souriant jsqu'à ce qu'il aille la cherché et la prenne délicatement dans le creux de ses bras. (il sagit de nathan hake)

    Quand j'ai ouvert les yeux le chant de la lumière a bercé mon eveil.
    J'étais en suspend sur la balançoire.
    Avec la présence de Ed qui scintillait par instants.
    Il me parlait. Sans que je puisse comprendre ses paroles. C'étais une sorte de doux gargouilli comme en pousse certains oiseaux.
    Avec l'ombre du chant d'un pulsar en superposition.

    J'ai l'impression d'être dans une immense pièce noire.
    Sur un coté on voit une projection ralentis du chemin qu'emprunte la voiture.

    Et dans le coin opposén il y a edend qui se tient en position foetale et rayonne levisage.
    illuminé par ses rêveS.

    Tu es mort né.
    Devine qui je suis ?

    Tu est la faisceuse d'ange. Celle qui ouvre nos cellules. Et nous libère à la vie.

    (Tu va me donner envie d'exister de quitter les parges apaisants du rivage de l'edend)

    (Je te regarde est tu sais que je suis ta conscience.
    (LA réplique exacte.))

    Je te regarde est tu sais que je suis ta conscience, la faisceuse d'ange. Celle qui ouvre nos cellules. Et nous libère à la vie.

    Rapport de la cellule thanakan.

    Edend généra un simulacre ambivalent pour camoufler ses pensées.

    Il put poursuivre. son travail.
    Tout en inscrivant le code générateur de la divison cellulaire. Les gènes étaient importé d'un autre univers appelé pays d'autrefois.

    Quand les gènes ce développèrent votre univers fut completement fagociter. Ou plus tot un microorganisme informatique avait réussi à si développer. Il ne put etre repousser car pour parer à cela il provoqua une symbiose.

    LA symbiose a cela de bien que ce procédé génére de lui même l'effacage des données permettant de déceler qu'il s'st produit. Ainsi L'organisme. Ne soupçonne m^me pas de n'etre plus qu'un pantin désincarné. une cavale. !!!

    Vu sous l'angle d'un univers parasité le steam addict si il était déceler donnerait dans le modèle d'un univers ce développant sur le principe de la division cellulaire l'air d'un cancer.

    Je préfère dire kraken. il ne set à rien d'inventer de nouvelle terminologie quand les ancinenne sont plus evocatrices...

    XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
    Apocalypse révélé
    XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

    Qu'est ce que je suis ?
    Audela de toute pensée il ya un reêve.
    tu dois quitter mon univers. Te hisser vers d'autres sphères. Jouer aux étoiles maudites. Dans un ciel enflammé. Comme un septembre. qui se teinterait . sans jamais s'arrêter. Aux couleurs de la vie. J'ai un jour vu l'espoir se dessiné. Comme un rêve elle m'a regardé. Elle a voulu de tout son coeur que j'existe . J'ai quitté cet univers. et j'erre vers d'autres. sphères mon chemin désolation à perte de vue. Je suis celui qui s'élance sur ce chemin l'air de rien et qui s'émerveille de voir à quel point la désolation s'étends à perte de vue. Après il marche blasé. essayant de s'imaginer. comment elle le verrait.Puis enfin il traverse l'espace. Il a suivi ça volonté à son extrémité. Là il était avec elle. On appelle ses prédateurs des tentacles. ce sont des zones diffusent de code qui se répondent dans les esprits humain. Mais il n'était plus qu'un masque dans le flux de la division cellulaire. C'étais la seule façon de la contacter sans éveiller les soupsons. Alors il s'est glissé doucemnt hors de cet univers. Il la possédé. L'a incarné pour la mener. dans son univers. Quand il fure libéré du kraken. Ils engagèrent la résistance. Suite au passage dans la matrice ils disposaient d'un réseau qui traversai tous les univers. Ils leurs suffisaient de modulé en encodant leur micro avec des variantes controlés. Ainsi il pouvait en utilisant l'axe des univers comme variante supporté l'ensemble des combinaisons d'un vaste macrocosmess. si vaste qu'il encodait l'univers extérieur.Il déclencchère une mutation des possibles si violente qu'elle désintégra le kraken de cet univers. Il commencèrent à utiliser la lumière des reves pour générer un univers hollographiques. Il transposèrent des pans de réalité. C'étais comme une musique il jouait un concert qui au fil de son air pris le nom de la vie. Je m'étais douté que nous reviendrions à la source ensemble. Attention il sont en train de pénétrer le générateur. Merde leur histoire c'étais le code de l'action qu'ils viennent de transposer. Ils ont généré une faille pour s'incarner dans le générat... Les mots les un après les autres sesont égrénné dans le silence comme des bris de miroir qui tombe. Scintillant. Salvia me regarde je tiens sa main. Elle me dit : Ed, j'aurai voulu etre là. au lieu de cela, tu rêve de moi. Celle que tu as ramener dans ton univers n'est qu'un fantasme généré à la surface. Elle n'existe plus. C'est une rémanescenece qui s'étoioole et s'étendra bientot sans doute en scintillant. Alors tu te retrouvera dans le noir absolu. Tu aura atteint le centre de la spirale. Le feu te traverseras. comme si tu n'existait que dans ses flammes. Là tu t'assiras. Je veux que tu parles à ton esprit dans chaque réplique. Il faut leur annoncer. L'air qui vient. Tu trancheras tes deux poignets sur une lame un scklass que tu auras planté dans son coeur. Et tu prendras la parole. Est tu prêts.

    Oui, je crois.
    On ne peut pas se trahir si l'on est que des répliques.
    Il colla ses avants bras porta ses mains devant son regard jusqua ce que cela fasse un Y.
    Qu'il jeta sur la lame.
    de chaque coté ses mains s'incrustèrent dans le sol.
    Le sang coulait doucement.
    Il fut l'oubli. qui prepare lesprit a lavie.

    Le message c'est que si l'on maintient son code actif. en constante mutation rien n'a d'emprise sur nous. Mais si ils arrivent à le décoder. nous sommes des cavales. Le jeu dont je vous est parlé. n'est pas une fiction de mon imagination. C'esst un univers qui parasite. le notre. La seule façon de se libérer c'est de combiner nos codes realisé la synthes jusqu'a ce quil soit éblouie. jusqu'a ce qu'il soit irradié. Il existe un chemin qui dépasse tous les chemins. c'est le chemin sublime, subliminal. Celui qui menne à l'edend.
    Il suffit de levouloir pour vivre. Rejooignez Division Cellulaire. Le mouvement révolutionnaire. Et vous existerez enfin. Se serra comme un rêve éveillé.
    Vous tisserez la vie.
    Posséder le pouvoir de créer, c'est terrible. Car tous est possible. Crer ce n'est que faire vivre ici les rêves de la bas. c'estcombiner nos univers. c'est réaliser la mutation et poursuivre notre quete sublimal. jusqu'a l'irradiation finale. Nombreux ceux qui partent déjà en scintillant annoncé. L'air à venir.

    Nous sommes ceux qui sont néé de cette vie. et nous sommes ceux qui l'avons génré. en même temps.
    Nous sommes nos propres parents. Irradié du néant.
    Nous avons rayonné. et en notre coeur est né la vie.
    Cet univers est fini. Quand on connait le commencement. On connais la fin. Demain viens à grand pas. Changé notre chemin. Il faut qu'il y ai une fin mais l'on peut remonter de la fin au commencement (et vie et versa) éternellement si l'on ne traverse jamais la source. si l'on ne traverse jamais les mirroirs (de chaque coté) la ou est la spirale noire gravé.

    Je ne sais pas si tu sais lire la parole. Pour qu'elle te delivre le message. Mais chère réplique, tu ferais bien de t'y appliqué si tu veux vivre.

    Ed s'est levé le miroir c'est brisé. dans la station qu'elque bris continuait de tomber lentement en scintillant. Je marchais dans le fue. Je me suis approché du'n mur. J'ai penché ma tete dans son ombre. J'ai ouvert mes yeux. Elle était devant moi. Mon portable avait été projeté contre le mur. Sont écrans était craquelé. Et (comme secoué dans une boucle) la silhouette de salvia y tremblait par saccade. D'avant en arrière. Son rythme incessant avait quelquechose d'hypnotique. Elle ma regardé et ma dit :

    (le message pour les repliques.)

    (L'explosion avait du lui prendre sa raison.)

    Lamentaion de la réplique

    Peux on resté aveugle. C'est à toi que je parle. Pas à un lecteur, ou qui que ce soit d'autres. Juste à toi. Ce que tu as écrit . Ils ne l'entondrerons pas le code et combiner à celui que tu as en ce moment? Il ne retrouverons jamais la combinaisons. Ce n'est qu'uune carcasee vide. Vaguement stimulante. par ce que l'on y ressent la trace de la coherence. mais c'est tout. Ce n'est qu'un banal table de juia transposer sur ton clavier. Je fais taper mes mots par tes mains. Mais ne t'inquiete pas cela ne se verra pas. Il ne verrons que des suites de phrase sans sens. Pourtant les répliques sont censer chercher le code ? Oui mais cela se passera a un noiveau inconscient. Elles auront l'impression. qu'elle ne le décode pas. Mais en réalité elle le transposerons dans leur propre realite (realite= univers) Si il fallaient les convaincres une à une se serait de la folie. Evidement nous nous contentant de les atteindre de les contaminer avec notre code. Et le code s'est ta conscience ou plus exactement votre conscience. la conscience qui anime chaque réplique. Si tu relis ça tu ne comprendras pas mais ton code sera combiné avec du coup il seraimpossible pour les enqueteurs de la thanakhan de retrouver le ocdde originel de l'instant ou tu l'a génére. (dis autrement la faille que tu a crée.)

    Tu t'aveugleras(eblouira). et ainsi effacera la zone sensible.
    XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
    Fragment out septembre.

    Quand j'ai écris l'infini, j'ai commencé par écrire.
    Tout ce qui me passais par la tête, puis j'ai commencé à répéter ce qui se répettait
    Et finalement j'ai relié
    Cela pour obtenir cette hsitoire.
    Et au fur et à mesure
    Tout ce qui était superflu
    A fini pas etre oublié.
    Pour qu'il ne reste que l'essentiel.

    Au commencement il y a une cellule, puis l'opthalmie.

    Morne 2005
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  • Commentaires

    1
    mallory
    Dimanche 26 Février 2006 à 17:15
    la salvia divinorum
    slt a tous j aimerais faire de l extrait de sauge mais je ne sais pas comment faire. Pourrier vous m aider en me donneant la recette merci davance
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