• Le rôle de la police ?

    Maintenir les inégalités sociales !

    Les profiteurs du système économique, politiciens et autre nantis verreux comme pas deux, qui se font de l'argent malhonnêtement sur le dos des autres sont protégés par la police. La police ? Pas vraiment, une milice à la solde des exploiteurs. Exemple la sncf, qui fait usage de la police des qu'il y a le moindre litige avec une fréquence affolante. Je vois régulièrement dix flics descendre en gare de saint-nazaire pour alpaguer un seul resquilleur. La sncf c'est combien déjà de bénéfice pour des actionnaires privés (1 million d'euros ?), sur des chemins de fer dont les terrains ont été acheté par l'état etc...? Et plutot que tolérer des voyageurs clandestins c'est plus juste de faire circuler des trains non remplis. La sncf encore il y a deux semaines ils ont fait descendre les kisdés (pardon la milice) parce que j'ai eu une altercation avec un controlleur alors que j'étais en règle, parce qu'il refusait que je garde mes rollers aux pieds (pourtant leur réglement intérieur de l'interdit pas) et que ce controlleur au lieu de me demander correctement m'a dit en me provoquant c'est hors de question que mon train parte avec toi à bord. Face à son attitude, j'ai oté mes rollers pour preuve de bonne volonté pourtant il a appellé les flics, et quand je leur ai demandé pour quoi ils se déplaçaient alors que je n'avais pas commis de délit, le controlleur à dit que je l'avais traité de fachiste !

     

    Autre chose en 2000, j'avais fait la même chose que lors de la révolte face aux exactions policières à la gare du nord, à savoir que j'avais passé par desssus un tourniquait à la gare, j'avais été emmené dans un bureau de la police feroviaire ou trois personnes mon gardé le temps de me faire la leçon, c'est à dire qu'ils m'ont mis la pression et l'un d'eux ma envoyé un "pain" dans le visage.

     

    Autre chose pour teminer cet été, la bac de la baule m'a controllé avec une amie, pareil il n'y avait pas d'infraction, une histoire assez abracabrante, surtout qu'ils voulaient controller mon amie, pour faire un alcotest (elle n'avait pas bu pourtant) et comme cela dégénérait et qu'ils devenaient très menaçant en disant qu'ils allaient la trainer de force etc, j'ai négocier pour qu'elle les accompagne à la condition que je puisse rester avec elle. Malgré qu'ils aient été d'accord comme ça n'allait pas assez vite l'un d'eux ma empoigner violement au col pour m'envoyer bouler. Ensuite j'ai fais le trajet en roller, parce qu'ils disaient ne pas pouvoir prendre deux personnes vu qu'ils n'étaient que deux. Arrivé au comissariat qui était à 5 minute, l'acceuil m'a dit qu'ils n'étaient pas arrivés, au bout de 20 minutes je suis retourné demandé, l'acceuil m'a redit pareil, sauf que j'ai entendu la voie de mon amie, d'une porte entrouverte, j'ai poussée la porte, elle était là, deux flics sont sortis m'ont fait traversé l'entrée soulevé et plaqué au mur ! Après ça j'ai poireauté plus d'une heure à sonner pour parler à quelqu'un du comissariat pour qu'il me donne le papier avec le numéro des violences policières. Résultat au bout de ce temps le responsable à fini par ouvrir une fenêtre et me geueler le numéro, je lui ai fait remarqué que je n'avais pas de quoi noter en vain.

    Quelques heures plus tard elle est ressortie et au petit matin, alors qu'on attendait un train, on a vu un gars sortir du comissariat la gueule en sang en ce disant qu'on avait eu de la chance.

    Le rôle de la police ?
    ...


    Le rôle de la population ?

    Merci à celle et ceux qui restent vigilants et solidaires face aux violences policières. 

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  • Commentaires

    1
    Mercredi 28 Mars 2007 à 13:05
    Passer la BAC
    C'est un mauvaise exemple la bac: les fonctionnaires de police des bac se sont taillés une solide réputation en matière de bavure. Mais ils sont pas là pour donner dans le détail. Ils sont là pour cogner du voyou et de temps en temps, ils se font un petit extra, avec ta copine par exemple. Ou ton frère, ou ton père, ou ton fils. Ca peut arriver à n'importe qui, en fait. Faut juste pas être au mauvais endroit et au mauvais moment. En revanche la police en tenue est plus clean et y a moins de cogneurs chez eux. Mais la bac, c'est des cogneurs. Sont là pour ça. C'est comme ça.
    2
    Mercredi 28 Mars 2007 à 13:09
    euhhh... et
    personne ne dit rien???????
    3
    Mercredi 28 Mars 2007 à 13:28
    Ben taka essayé
    T'as le choix entre 4 jours d'ITT et outrage et rébellion. Ca calme tout de suite. Et souvent c'est fromage ET dessert (4 j ITT + outrage et rébellion). C'est cool. Nan, je t'assure, la bac, c'est des pro. A ce tarif, je préfère avoir des emmerdes avec des jeunes de banlieue, au moins tu peux te défendre.
    4
    Mercredi 28 Mars 2007 à 14:45
    halte aux abus de la force policière
    l'amie en question c'est moi, et non je suis pas d'accord : la BAc n'a pas le droit de vous forcer à vous faire passer un ethylo au poste. C'est possible avec un ballon dans le cadre d'un contrôle; La j'étais dans la rue, la voiture garée.. Ils ont pas hésité à m'empoigner et comme je refusais de grimper dans leur véhicule à me claquer plusieurs fois de suite la portière sur les mollets. Mon test, comme prévu, était à zéro. On a poieauté quatre heures pour repartir. Et le lendemain j'apprends qu'on est déclarés en fuite du commissariat de cette pute de La Baule (mairie UMP). Coup de fil et ce fut clos... A quand même j'avais eu ma toute petite vengeance, en partant du poste jai volontairement renversé ma salade de riz partout... Ils l'avaient mauvaise et ça puait le thon !
    5
    Mercredi 28 Mars 2007 à 15:22
    Ca arrive avant les élections
    les policiers des bac s'excitent un peu dans les périodes pré électorales et ils cognent un peu au pif pour se défouler, puis après, ça passe. Le truc vital: ne pas faire en sorte qu'ils sortent leur flingue, sinon ça peut très mal tourner (c'est pas des conneries ce que je te raconte, il y a des murs de commissariat qui ont été repeints avec de la cervelle de gardé à vue). Il y a des trucs qui ne faut pas faire, comme avec certains animaux qui peuvent être dangereux. D'abord, faut pas transpirer la peur, parce qu'ils le sentent et ça peut devenir tendus. Faut pas les regarder dans les yeux, mais sur le front, entre les yeux. Faut pas hurler, mais avoir une voix ferme. Faut pas être aggressif, mais leur donner une "récompense" (sous la forme d'estime ou de considération par exemple)sans être à la lèche. Faut dire ce que tu as à dire, ou faire ce que tu as à faire, mais sans détour, sans jouer ton malin ou ta maligne. Il ne faut jamais courir! Tu peux protester, mais jamais insulter. Ne dis pas que tu as le bras long, il s'en foutent. Inutile aussi de jouer à Monsieur la loi je connais mes droits, ils s'en foutent complètement de tes droits, tout ce qui les intéressent c'est de ne pas être punis par leur supérieur. Si tu respectes ces consignes de sécurité, tu mets de ton côté les meilleures chances pour que ça se passe bien. Ah oui, dernière chose: ne compte pas trop sur la justice pour contrôler ce que fait la police. C'est vrai que c'est inscrit dans la constitution, mais en réalité, c'est beaucoup plus compliqué que ça. Sinon, tu peux porter plainte à l'IGS. Globalement, ça marche à peu près. Un tout dernier truc: à partir du moment où les policiers te frappent, ils sont obligés de te charger, sinon ils se font punir. Donc il faut absolument éviter de les exciter. Maintenant si tu veux faire comme tu le sens, tu seras traitée comme un jeune de banlieue. T'as eu un échantillon, mais t'as eu du bol, t'es une fille. Les mecs, ils les cognent. Et encore, chuis poli: les batons de police dans le rectum, c'est pas une légende. Sur tout ce qui est sexuel, fait faire très gaffe à ça: les policiers des bac sont jeunes, se sont des mecs, souvent, ils se déplacent en groupe, ils sont armés, sportifs, peu intellos et parfois il picollent. Tous les facteurs de risque sont donc réunis pour que leur volonté d'imposer leur autorité se transforme en une volonté de domination à carctère sexuel. A partir de là, tu pourras te faire humilier en garde à vue avec des trucs pas très sympa. Voilà chou. Pour ce coup là tu t'en es bien tirée et tu t'es bien marrée. T'as eu de la chance, n'y reviens pas.
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    6
    Mercredi 28 Mars 2007 à 18:49
    ils en profitent...
    ...ils savent qu'il y a une (maigre) chace de ne plus avoir Sarko qui les protege. Mais s'il passe, attention, ce sera pire. Il a instauré un eat policier sans que personne ne s'en soucie (pire, la masse se sent en securité). Et aprallelement, l'insecurité des gens a augmenté, quoi qu'en dise naboleon. En ce qui concerne la BAC, je crois que cette unité a été tres mal gérée depuis longtemps. Certes, il faut des brigades d'intervention, mais on les a fait intervenir pour trop de delits mineurs ou ils se sont fait caillasser, insulter.Alors des qu'ils peuvent, ils se vengent. Faites quand memle attention ace que vous faites en mai, car faire passer Sarko c'est pereniser ce genre de comportement.
    7
    Mercredi 9 Mai 2007 à 06:23
    ne vous laissez pas assassiner !
    INTERPELLATION de Giovani B. - le 8 mai 2007. Propos recueillis par Samuel LE BERRE, Travailleur social Ce mardi 8 mai 2007 vers 9h30 en gare de Villeneuve Saint Georges, n'ayant pas de ticket de train je suis passé en fraudant au dessus des portiques de la SNCF. Suite à cette infraction trois policiers m'ont interpellés. Pris de panique je suis sorti de la gare en marchant. Voyant qu'ils me poursuivaient j'ai couru pendant 10mn et je me suis réfugié au 4ème étage d'un immeuble. Ils m'ont retrouvé après 5mn de planque. L'un des trois agents de police m'a dit : « Bonjour, tu m'as bien fait courir, j'aime pas ça ! ! ! ». Il a vivement attrapé le col de ma veste et m'a tiré vers lui. A ce moment je suis tombé et un de ses collègues m'a attrapé par le bras, ils m'ont traîné sur les quatre étages des escaliers de l'immeuble me cognant sur les murs et rambardes. Arrivé au RDC de ce même bâtiment il m'ont asséné de multiples coups de pieds, m'ont étranglé avec mon collier jusqu'au point de me couper le souffle. S'en est suivit un coup de genoux en pleine tête, la faisant se taper contre la porte d'entrée du hall. Un des policiers me tenait et l'autre m'a mis les menottes. A aucun moment je ne me suis débattu et je n'ai à aucun moment proféré d'insultes à leur égard. Ensuite, ils m'ont emmené à pied vers le commissariat de Villeneuve St Georges. Sur le trajet pendant que deux officiers de police me tenaient les bras, le troisième placé derrière moi me faisait des croche-pieds et m'écrasait les talons disant : « avance plus vite, avance plus vite ». Arrivé au commissariat il m'ont menotté derrière l'accueil et l'un des trois policiers est venu me disant « la prochaine fois que je te chope tu ne t'en sortiras pas » avec un regard rempli de haine. A ce même commissariat avant de partir, il ont juste pris mon nom, prénom et adresse et ne m'ont même pas fait faire de déposition concernant les faits. Je suis parti du commissariat de Villeneuve St Georges vers 11h. Suite à cela je me suis rendu au centre Intercommunal de Villeneuve St Georges afin de faire constaté mes diverses contusions (thoracique et cervicales) et des traces de la chaine lors de l'étranglement.
    8
    Mercredi 9 Mai 2007 à 06:28
    ne vous laissez pas gazer !
    Insécurité policière Paris, dimanche 6 mai 2007 - 23 h 30 métro Richard Lenoir Trois heures trente après les résultats, l'ambiance est à la crainte dans les couloirs du métro parisien. Mais ne vous affolez pas braves gens, la police règne. Après avoir gazé les manifestants place de la Bastille, les forces de l'ordre très nombreuses dans les rues de Paris sont passées à l'action - l'un des thèmes cher au nouveau président. Il semblait qu'en dehors de la place de la Concorde nul autre rassemblement n'avait sa légitimité. Pourtant, devant des millions de téléspectateurs NS affirmait que ce n'était pas "la victoire d'une France contre une autre". Tout en affirmant vouloir "réhabiliter le travail, l'autorité, la morale et le respect" devant les caméras, comme à son habitude, les choses se passent bien autrement sur le terrain. Afin de protéger la population qui rentrait chez elle, un groupe constitué d'une dizaine de policiers en civil n'hésite pas à opérer vaillamment dans le métro. Quelques jeunes se réfugient dans les couloirs de la station, poursuivis par les agents armés de pistolets, de matraques, et de bombe au poivre. Un des jeunes est violemment arrêté sur le quai, menotté puis emmené dans les espaces réservés à la RATP. C'est au même moment qu'arrivent des usagers du métro, hommes et femmes qui souhaitaient simplement rentrer chez eux dans le calme, en pleur. La police avait en effet gazé les manifestants dans l'enceinte close des couloirs du métro, et par dommages collatéraux les personnes qui venaient prendre le train. Le ton commence alors à monter, les policiers sont pris à parti verbalement par les usagers en pleur qui n'acceptent pas de se faire gazer dans le métro. Un des amis du jeune homme arrêté demande qu'on le libère. Actes criminels s'il en est puisqu'un des policiers sort son arme et met le groupe en joue. Des renforts de policiers arrivent de l'autre côté du quai, matraque à la main et commencent à violemment frapper le groupe. La confusion est totale au moment où arrive le train, à tel point qu'un policier perd sa matraque après avoir tapé au hasard sur les jeunes. Tous tentent alors de monter dans la rame, afin d'éviter une arrestation musclée - seuls deux des quatre y parviennent. Les policiers essaient d'empêcher la fermeture des portes afin d'appréhender les jeunes qui avaient protesté contre le gazage aveugle. Mais le conducteur du train n'écoute pas les injonctions des policiers, et démarre. Les agents ne pouvant plus rien faire face aux personnes montées dans le train, et ainsi perdre une occasion d'augmenter leur taux d'arrestations, ont gazé la rame tout entière à coup de bombe au poivre par une vitre ouverte du wagon. la suite http://richardlenoir.hautetfort.com
    9
    LAMI
    Samedi 6 Décembre 2008 à 17:46
    mensonge
    Du grand n'importe quoi sur ce forum. Comme par hasard sa arrive toujours au même de ce faire controler. Hasard des choses ou délinquants masqués. J'obterais plus pour la 2. La police m'a protéger à plusieurs reprises et je les ai remerciés. Je ne crois pas à vos histoires, mais à de gros mensonges ou a des histoires modifiées. Vous essayé de devenir victime. A bon entendeur salu...
    10
    Lundi 2 Mars 2009 à 12:58
    Lami
    "Sur du grand n'importe quoi"... Bien sur c'est pour ça que les 3 policiers nantais viennent de prendre 4 mois de prison, c'est pas cher payer pour un mort, mais au moins ça montre à ce cher Lami qu'il peut ne pas croire ces histoires, c'est néamoins le quotidien de la majorité de la population... Enfin est ce que ça sert de discuter avec quelqu'un comme ça, pour lui sans soute que si on est "délinquant" cela mérite la peine de mort.
    11
    deadend
    Mardi 28 Avril 2009 à 19:30
    Actualisation 2009
    Le rôle de la police ? | 28 mars 2007 Maintenir les inégalités sociales ! Les profiteurs du système économique, politiciens et autre nantis véreux comme pas deux, qui se font de l'argent malhonnêtement sur le dos des autres sont protégés par la police. La police ? Pas vraiment, une milice à la solde des exploiteurs. Exemple la sncf, qui fait usage de la police dès qu'il y a le moindre litige avec une fréquence affolante. Je vois régulièrement dix flics descendre en gare de saint-nazaire pour alpaguer un seul resquilleur. La sncf c'est combien déjà de bénéfices pour des actionnaires privés (1 million d'euros ?), sur des chemins de fer dont les terrains ont été achetés par l'état etc...? Et plutôt que tolérer des voyageurs clandestins c'est plus juste de faire circuler des trains non remplis. La sncf encore il y a deux semaines ils ont fait descendre les kisdés (pardon la milice) parce que j'ai eu une altercation avec un contrôleur alors que j'étais en règle, parce qu'il refusait que je garde mes rollers aux pieds (pourtant leur règlement intérieur de l'interdit pas) et que ce contrôleur au lieu de me demander correctement m'a dit en me provoquant c'est hors de question que mon train parte avec toi à bord. Face à son attitude, j'ai ôté mes rollers pour preuve de bonne volonté pourtant il a appelé les flics, et quand je leur ai demandé pour quoi ils se déplaçaient alors que je n'avais pas commis de délit, le contrôleur a dit que je l'avais traité de fasciste ! (actualisation 2009, j'ai actuellement un nouveau litige avec le même contrôleur, le mois dernier j'ai été contrôlé avec mon titre de transport à la semaine mais sans l'attestation patronale. Dans un premier temps il m'a demandé de payer 9 euros j'ai accepté en demandant la procédure de remboursement, mais quand j'ai ouvert mon portefeuille il m'a pris ma carte d'identité et a ensuite fait un procès verbal et refusé que je le paye dans le train alors que j'avais près de 80 euros sur moi et un chéquier !!! Résultat si le service clientèle n'annule pas son pv je devrai payer 65 euros d'amende sois presque un dixième de mon salaire mensuel) Autre chose en 2000, j'avais fait la même chose que lors de la révolte face aux exactions policières à la gare du nord, à savoir que j'étais passé pardessus un tourniquait à la gare, j'avais été emmené dans un bureau de la police ferroviaire ou trois personnes mon gardé le temps de me faire la leçon, c'est à dire qu'ils m'ont mis la pression et l'un d'eux ma envoyé un "pain" dans le visage. Dernière chose pour terminer cet été, la bac de la Baule m'a contrôlé avec une amie, pareil il n'y avait pas d'infraction, une histoire assez abracadabrante, surtout qu'ils voulaient contrôler mon amie, pour faire un alcootest (elle n'avait pas bu pourtant) et comme cela dégénérait et qu'ils devenaient très menaçant en disant qu'ils allaient la trainer de force etc, j'ai négocier pour qu'elle les accompagne à la condition que je puisse rester avec elle. Malgré qu'ils aient été d'accord comme ça n'allait pas assez vite l'un d'eux ma empoigner violemment au col pour m'envoyer bouler. Ensuite j'ai fais le trajet en roller, parce qu'ils disaient ne pas pouvoir prendre deux personnes vu qu'ils n'étaient que deux. Arrivé au commissariat qui était à 5 minute, l'accueil m'a dit qu'ils n'étaient pas arrivés, au bout de 20 minutes je suis retourné demandé, l'accueil m'a redit pareil, sauf que j'ai entendu la voie de mon amie, d'une porte entrouverte, j'ai poussée la porte, elle était là, deux flics sont sortis m'ont fait traversé l'entrée soulevé et plaqué au mur ! Après ça j'ai poireauté plus d'une heure à sonner pour parler à quelqu'un du commissariat pour qu'il me donne le papier avec le numéro des violences policières. Résultat au bout de ce temps le responsable à fini par ouvrir une fenêtre et me gueuler le numéro, je lui ai fait remarqué que je n'avais pas de quoi noter en vain. Quelques heures plus tard elle est ressortie et au petit matin, alors qu'on attendait un train, on a vu un gars sortir du commissariat l'oeil tuméfié et la gueule en sang qui nous a dit qu'il sortait de la cellule de dégrisement et qu'on avait eu beaucoup de chance de s'en sortir à si bon compte vu la réputation de ce commissariat. (actualisation : début avril 2009 un homme de 43 ans est décédé en cellule de dégrisement au commissariat de la Baule... sans commentaire) Le rôle de la police ? ... Le rôle de la population ? Merci à celle et ceux qui restent vigilants et solidaires face aux violences policières.
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